Le soir ils se réunissaient dans la même maison, chez une vieille comtesse espagnole, une émigrée politique. » C’était une question à laquelle je m’étais bien préparé : « Je préfère George Sand et Jean-Jacques à tous les auteurs ! Maurice a repris l’atelier con furia, et moi j’ai repris Consuelo, comme un chien qu’on fouette ; car j’avais tant flâné pour mon déménagement truffes et nos champignons séchés mon installation, que je m’étais habituée délicieusement à ne rien faire. Tous ses amis et élèves, Halévy en tête, partageant son dépit, se mirent en course pour conjurer l’orage et le diriger sur moi ; c’est-à-dire pour obtenir qu’on dépossédât le jeune homme au profit du vieillard. ». En général, malgré son enthousiaste admiration pour le génie musical du grand Polonais, Lenz laisse trop souvent percer son animosité contre la personnalité de l’artiste pour qu’on puisse accepter, sans restrictions, tout ce qu’il débite sur Chopin, et surtout sur George Sand
Envers le paysan surtout j’ai contracté une dette de gratitude ; son hospitalité, ses renseignemens, son temps ont toujours été mis libéralement à mon service ; le plus pauvre aussi bien que le plus riche ont rivalisé de courtoisie à l’égard de l’étrangère. Ensuite, le temps que la truffe soit sortie de terre, le chien attend sa récompense. Dans le pays de Caux, le chien est regardé simplement comme une machine à aboyer ; dans le Cotentin, les animaux élevés pour le boucher sont traités avec aussi peu d’égards que s’ils étaient des choux ou des pommes de terre. Sur le long terme ont recommande plutôt un taux supérieux à 35%. Les protéines sont à la fois de l'energie mais aussi les fondations de l'organisme de votre Chien les protéines sont de grosses molécules vitales, très importantes et servent quasi tout. La curiosité de miss Betham n’a été déçue qu’une fois. Elle a moins de reproches à adresser aux Angevins, race douce et gracieuse, gentle and amiable : elle leur en veut pourtant de plumer deux fois par an les oies vivantes. Mary Warren était derrière elles, souriant, rougissant, et timide mais il ne me fallut pas regarder longtemps pour voir qu’elle n’était pas moins enchantée que mes connaissances plus anciennes
Il en est des paysans comme des chats, lesquels devinent à première vue qui les aime ou ne les aime pas ; ils s’étaient bientôt avisés que miss Betham les aime beaucoup. Dans ses tournées à travers les villes et les campagnes, miss Betham porte partout avec elle des préoccupations humanitaires, et ce qui l’intéresse le plus en France, c’est le Français. M. Geoffroi, qui l’a adopté, dit que dans toutes les observations qu’il a faites, les plantes sont devenues stériles, & les fruits n’ont été que des avortons, lorsque le pistil a été coupé avant que d’avoir été impregné de poussiere ; & ce fait est confirmé par d’autres expériences de M. Bradley. Devenu végétarien, il est presque honteux d’avouer qu’il ne peut suivre les prescriptions de son médecin que quant au vin, mais il ne peut point se forcer à manger de la viande, et il craint tellement qu’on ne voie en ceci un signe de son « imbécillité » qu’il s’empresse de se défendre par l’exemple de Byron et de Lamartine. Elle donne un bon point aux Dauphinois et aux Savoyards, parce qu’ils ont l’air d’aimer leur bétail
» Elle a raison, et nous ne sommes pas assez reconnaissans à nos voisins d’outre-Manche des services qu’ils rendent à notre bien-être ; si nous trouvons en maint endroit de meilleurs lits et des planchers propres, c’est à ces grands purificateurs de gîtes insalubres que nous en sommes redevables. Si les Normands lui déplaisent, c’est qu’ils maltraitent les êtres à qui le ciel a refusé la parole et rainer plaisir de dire son fait à leur bourreau. Je suis triste d’avoir à dire des choses si dures aux dignes fermiers normands, mais je ne dis rien de trop. Elle y a vu une foule de choses qui l’ont intéressée ; elle affirme que c’est une des villes les plus charmantes de France, l’une des meilleures à habiter. Mais comme elle est indulgente pour nous, même en nous grondant, et qu’elle saupoudre d’une pincée de sucre les amandes amères, elle ajoute : « C’est probablement l’amabilité nationale qui est cause de cette stagnation. Il dit que c’est un grand et bel ouvrage, d’un homme qui parle d’après son expérience, qui aime les moyens simples et qui ne cherche pas des artifices dispendieux
J’ai reçu un rapport de Netjhim le prêtre de Ptol’a qui est actuellement dans une région reculée du désert. Elle servait de prélude au grand auteur, qui, après minuit, quittait son fauteuil de velours pour se retirer dans sa chambre d’études, où il travaillait jusqu’au lendemain. La Prusse penchait pour la Russie, les états secondaires de l’Allemagne se montraient encore plus ardens et allaient parfois jusqu’à se donner l’air de vouloir dégainer ; tant pis pour l’Autriche si elle persistait à faire cause commune avec les alliés : cela pouvait amener des modifications territoriales importantes et toutes à l’avantage de la maison Hohenzollern ! Avec la mobilisation des élu.es, des associations et des citoyen.nes, plus de 300 personnes exilées ont été parrainées aujourd’hui, en cette date symbolique. Peut-être le primitif a-t-il été caner, flâner, mot à mot marcher en se dandinant comme les canes, que les dérivés se cancaner, se lenticaner, ont fait disparaître. Il y a fait une découverte aussi incroyable que dangereuse selon ses dires. Le sable s’y était engouffré, offrant une pente glissante que le champion dévala en parvenant tout juste à se maintenir