PISSOIRE, s. f. - Canule de bois sous un cuvier à lessive, ou sous un vaisseau quelconque, et aussi le conduit par lequel découle l’eau d’une fontaine. PISSER (parlant par respect), v. PISSE (parlant par respect), s. Par extension, un homme lourd, maladroit. Niais, dupe. - « L’une des grandes finesses des garçons de restaurant, quand ils servent un homme et une femme dans un cabinet, est de pousser à la consommation… PISTOUFLE, s. m. - Un gros homme essoufflé. « Pour les tempêtes intervenant à compter du 1er janvier 2017, les surfaces forestières considérées comme assurables contre le risque de tempête dans les conditions prévues au dernier alinéa du présent II ne peuvent plus faire l’objet d’une prise en charge de l'État en matière de nettoyage et reconstitution des peuplements forestiers. Mardi 8 janvier. Saint Lucien. Ce ne fut probablement dans l'origine qu'un vase destiné à filtrer les eaux limoneuses du Nil ou un vase gradué, contenant différentes mesures d'eau et faisant connaître la crue plus ou moins abondante du fleuve; les figures dont il est surmonté indiquaient les signes du zodiaque auxquels cette crue correspondait
Il est de même dangereux de se reposer sur des chaises ou sur des pierres fort échauffées par le soleil : une chaleur maligne s’insinuerait dans le corps, fixerait les humeurs en quelque endroit, et y causerait un abcès. On sera sans doute surpris que les Chinois, étant si peu versés dans la science de l’anatomie, qui est la partie la plus importante de la médecine, pour découvrir les causes des maladies, on leur voit faire néanmoins des raisonnements qui semblent supposer cette connaissance. Ne dormez point sur des peaux de tigres ou de léopards : si les poils de ces animaux vous entraient tant soit peu dans la chair, vous éprouveriez combien ils sont venimeux. Shakespeariens à leur façon, ces deux journalistes du siècle : l’un traînant le ventre de Falstaff, l’autre offrant la tête d’Yorick aux méditations des Hamlets ! Suis-je assez bête d’avoir crevé la tête de Cadine ! Durant le sommeil ne tenez point la tête et le visage sous la couverture : la respiration en serait moins pure et moins libre
2°. Que c’est de la substance la plus spiritueuse échappée de ces pins, et répandue dans le terroir, qu’il est formé, et qu’il reçoit son accroissement. Je crois que l’écorce rougeâtre, qui couvre la substance blanche, en augmente considérablement le poids. Un médecin lettré en apporte la raison : c’est que le fou lin de la province de Tche kiang, étant d’une matière spongieuse, a moins de corps et de force que celui de la province d’Yun nan, et ne pourrait résister à l’air vif et nitreux de Peking : au contraire, le fou lin des provinces d’Yun nan et de Chen si est compacte, a peu de pores, et a beaucoup de poids. Le bon fou lin se trouve dans la province de Chen si : on en a trouvé dans la suite du meilleur dans la province d’Yun nan, et l’on n’emploie que celui-là à la cour, où il se vend un taël la livre. Cette différence de tissure, ainsi que le remarque un auteur chinois, vient de ce que les pins montagnards, tels que sont ceux des provinces de Chen si et d’Yun nan, sont d’une matière bien plus massive, que ne le sont les pins maritimes, ou ceux qui croissent à peu de distance de la mer
En revanche, elle a rencontré dans les Alpes-Maritimes des chevaux dont les écorchures saignaient et criaient vengeance, et elle s’est dit qu’en Angleterre le brutal qui les conduisait aurait été passible de huit jours d’emprisonnement. Il lui aurait appris que cette femme odieuse ménageait son crédit en ne l’employant qu’avec une circonspection extrême, qu’elle était beaucoup moins occupée de gouverner que de complaire à celui qui gouvernait, « que du même fond de caractère dont elle était incapable de rendre service, elle l’était aussi de nuire. Le bassin de Vannes, de Quimper, &c., est riche en bled ; celui de Saint-Brieux, en grain, en chanvre, en lin ; enfin, celui de Caen, en toutes sortes de productions : le cidre, & dans quelques endroits le poiré, fournissent à la boisson habituelle des habitans. Elle aurait dû se dire que tout a sa rançon, que les privilèges rapprochent quelquefois les hommes, que dans un pays d’égalité civile et de suffrage universel, où il n’y a plus ni patrons ni cliens, chacun se tient sur ses gardes et se cantonne chez soi, les uns par orgueil, les autres par fierté. Comme elle, cette Niçoise affirmait qu’on les calomnie odieusement, qu’on les accuse produits à la truffe de haute qualité tort de se plaire dans la fange, que rien ne leur est plus agréable qu’une bonne litière de paille propre, que ces épicuriens raffinés, ces découvreurs de truffes, nous en veulent de les traiter en cyniques
Quant à moi, je ne pus m’empêcher de remarquer la manière dont les quatre jeunes personnes vinrent à ma rencontre. M. Warren s’avoua heureux de pouvoir nous féliciter ouvertement, et de former une plus ample connaissance avec des personnes dont le retour avait été souhaité par lui avec anxiété et espérance depuis trois ou quatre ans. Les Indgiens dont je vous ai parlé sont dans les buissons, sur la lisière, et ils sont armés ; je vous laisse à communiquer avec eux comme vous l’entendrez. Le vieil Indien a ce qu’il appelle ses traditions, Monsieur, et peut raconter beaucoup d’histoires des temps anciens ; mais ce n’est pas sur des dindes, des poules ou des moutons et autres choses dont aime à parler Yop. Mon Dieu, monsieur, quel souci peuvent avoir des vêtements des hommes accoutumés à voir revêtus de peaux les chefs des comptoirs et des forts. » en voyant deux hommes se scalper, pour ainsi dire, eux-mêmes