M. Delacroix, littérateur aussi aimable que fécond, se plaignait à Versailles du prix du sucre, qui, à cette époque, dépassait 5 francs la livre. Quoi qu’il en soit de cette vieille histoire, l’honneur de la découverte n’appartiendrait qu’à moitié au chevrier observateur ; le surplus appartient incontestablement à celui qui, le premier, s’est avisé de torréfier cette fève. Ainsi on peut regarder comme certain que la truffe est un aliment aussi sain qu’agréable, et qui, pris avec modération, passe comme une lettre à la poste. Sous une égide aussi impénétrable, l’usage du sucre est devenu chaque jour plus fréquent, plus général, et il n’est pas de substance alimentaire qui ait subi plus d’amalgamées et de transformations. Sans doute il n’est pas donné à toutes les villes de produire des hommes supérieurs. « La truffe n’est point un aphrodisiaque positif : mais elle peut, en certaines occasions, rendre les femmes plus tendres et les hommes plus aimables. J’ai souvent pensé que ces pauvres créatures obéissent à je ne sais quelle charitable mission en se donnant à ces hommes si rebutans, si rebutés, aux mauvais sujets
J’ai dit que cet effet était modifié par l’habitude, ce qui ne l’empêche pas d’avoir lieu d’une autre manière, car j’ai observé que les personnes que le café n’empêche pas de dormir pendant la nuit, en ont besoin pour se tenir éveillées pendant le jour, et ne manquent pas de s’endormir pendant la soirée, quand elles n’en ont pas pris après leur dîner. J’ai vu à Londres, sur la place de Leicester, un homme que l’usage immodéré du café avait réduit en boule (cripple) ; il avait cessé de souffrir, s’était accoutumé à cet état, et s’était réduit à cinq ou six tasses par jour. Les Turcs, qui sont nos maîtres en cette partie, n’emploient point le moulin pour triturer le café ; ils le pilent dans des mortiers et avec guide ultime des truffes pilons de bois ; et quand ces instruments ont été longtemps employés à cet usage, ils deviennent précieux et se vendent à de grands prix. « Tout propriétaire d’une parcelle boisée contiguë dispose d’un délai d'un mois à compter de cette notification pour faire connaître au vendeur, par lettre recommandée avec avis de réception ou par remise contre récépissé, qu'il exerce son droit de préférence aux prix et conditions qui lui ont été notifiés
Par conséquent, les truffes sont largement utilisées dans le traitement du trachome à ses différents stades. Sans doute vous savez que le coffre en est plein, et si vous étiez comme moi, vous ne devriez pas aimer à abuser dans les mots des plus saintes choses du monde en faisant trop prendre l’air aux reliques de l’âme. Au fil du temps, le nom évolua en «truffe», plus élégant. J’ai très vite constaté que mes deux Loulous n'avaient plus de problèmes de selles. Je pus même alors de la fenêtre de mon cabinet de toilette, distinguer les figures des deux vieillards assis au soleil, selon leur habitude à chaque après-midi. Emplâtres. - L’emplâtre simple se compose de litharge en poudre fine, graisse de porc et huile d’olive, de chaque une partie ; eau commune, deux parties. Les truffes proviennent de la manne, et son eau est un remède pour les yeux . Sous nos yeux Paris est envahi par les Auvergnats, les Limousins, les Marchois, les Cévenols, les Savoyards, les Dauphinois, les Pyrénéens, maçons, terrassiers, porteurs d’eau, ramoneurs, commissionnaires, gens de tous les métiers. Nos traditions sont vraies elles parlent de l’intègre Onondago. Elles lui permettent de se repérer dans l’espace et de détecter les mouvements qui se produisent autour de lui
C’est la saison des truffes! Les meilleures truffes de France viennent du Péricord et de la haute Provence : c’est vers le mois de janvier qu’elles ont tout leur parfum. C’est une obligation pour tous les papas et mamans du monde d’interdire sévèrement le café à leurs enfants, s’ils ne veulent pas avoir de petites machines sèches, rabougries et vieilles à vingt ans. L’usage du sucre ne se borne pas là. Quelquefois cet effet est adouci ou modifié par l’habitude ; mais il est beaucoup d’individus sur lesquels cette excitation a toujours lieu, et qui, par conséquent, sont obligés de renoncer à l’usage du café. Telle est cette substance que les Français du temps de Louis XIII connaissaient à peine de nom, et qui, pour ceux du dix-neuvième siècle, est devenue une denrée de première nécessité ; car il n’est pas de femme, surtout dans l’aisance, qui ne dépense plus d’argent pour son sucre que pour son pain. Ce roseau est originaire des Indes ; cependant il est certain que les Romains ne connaissaient pas le sucre comme chose usuelle ni comme cristallisation. Mais d’une eau édulcorée par le sucre et la canne, au sucre tel que nous l’avons, il y a loin ; et chez les Romains l’art n’était point encore assez avancé pour y parvenir